Ramirez Jaramale [Maison d'un voisin]

La journée avait été riche en évènement mais personne n'aurait put prévoir ce qui allait s'y passer ni quel en enfer cette ville allait se transformer. Pour Ramirez tout était encore flou et absolument irréaliste comment se pouvait t'il que en une journée les gens civilisés qui habitaient dans cette ville se transforme en une horde affamée dévorant tout sur son passage. Mais peu importe les gens qui sont mort jusqu'à présent ce qu'il faut maintenant faire c'est résister, survivre et se battre contre le cauchemard qui venait de plonger la ville dans un sommeil de mort. Peu après ce qui c'était passé en ville, Ramirez couru jusque chez lui pour se préparer à affronter les horreurs qui se déplaçaient à présent en toute liberté dans les différents quartiers qui compose cette ville.

Ayant passé un long moment à barricadé sa maison pour pouvoir avoir le temps de réflechir, Ramirez rassemblait les affaires qui lui permetterait de résister. Un sac à dos pour transporter du matériel et des vivres sans étre encombré et son passe partout qui l'avait deja aidé à forcer de nombreuses serrures. Il monta donc sur le toit à partir d'un velux qui se trouvait au grenier et scrutant les alentours envahis par les ténèbres en se disant à lui meme:
(Tout va si vite! Comment tout cela à t'il put se produire? Peu importe! De toute façon je m'en sortirait comme d'habitude! Et si il doit rester une seule personne en vie dans cette ville se sera moi! )
Après avoir longuement réfléchit sur sa situation et ce qu'il devait faire, il se rendit compte qu'il lui restait plus qu'à récuperer son arme qui se trouvait cachée sous son matelas dans sa chambre au premier étage de la maison, avant de se decider si il devait partir ou tenir un siege.

(voila si il te manque des precisions, la maison est composée d'un rez de chaussée et de deux étages. Le dernier étant un grand grenier celui du dessous il y a la chambre, la salle de bain, les toilettes,... et le rez de chaussée on y trouve la cuisine , le salon et autres si tu as de l'imagination. merci à toi )

(le commissariat fait partie de la zone de jeu de la Beta?)

Après avoir fait le point de la situation sur le toit, Ramirez comprit qu'il ne pourrait pas rester en état de siège éternellement et il devait donc faire un choix pour définir la meilleur possibilité qui s'offrait à lui. Il pouvait soit aller à l'endroit où avait du se poser l'helico ou essayer d'acceder au commissariat pour se mettre à l'abri. Mais il fut interrompu dans sa reflexion par un bruit venant de l'étage d'en dessous, en regardant par la fenetre il s'aperçu qu'on était en train de defoncer la prote d'entrer et qu'il lui faudrait bientot quitter sa maison sous peine de finir comme les autres. Que fallait t'il faire? Tenter un passage en force sur la porte d'entrée et les assaillants semblait impossible et la porte du jardin serait trop longue à ouvrir, Ramirez opta donc pour une troisième solution qui était le vasistas dans la réserve.

La situation devenait inquietante, il se devait d'agir avant que les monstres arrivent à entrer. Donc l'arme au poing il descendit rapidement jusqu'à la réserve en essayant de ne pas se faire remarquer et il entra discretement dans celle ci après ç'etre assuré que personne n'aurait put entrer par là où il comptait sortir. Car étant la seule partie de la maison qu'il n'avait pas barricadé, il se pouvait que quelqu'un ou quelque chose ait put arriver sans qu'il s'en apperçoive. Une fois à l'interieur de la réserve, il alluma la lumière, ferma la porte derrière lui et s'avança vers son issue de secours qu'il franchirait après etre sur qu'il pourrait sortir dans un endroit sans danger. En cas de problème avec un monstre il tira 2 balles sur la première chose qui voudra en faire son casse croute.

Post 1/3 :

Fonçant vers la réserve, vous choisissez la solution qui vous semble la meilleure, tout en vous éloignant des bruits de plus en plus violent sur votre porte. L’arme levée, vous fermez la porte derrière vous, puis vous allumez la lumière et descendez les marches.

Par chance, le vasistas de la réserve est toujours fermé, et en bon état. Il est donc peu probable que quelque chose y ai pénétré avant votre arrivée. Vous rengainez rapidement et grimpez sur un de vos établis pour l’ouvrir, et vous vous glisser rapidement dans le jardin.

Vous êtes désormais dehors, et un énorme « Crac » vous indique que votre porte vient de lâchée. Plus question de faire demi-tour désormais. A votre droite, le petit portail vous mènera à la rue principale. A votre gauche, la maison de votre voisin, derrière le petit muret. Son gros 4x4 est toujours garé dans son allée.

Que faites-vous ?

Ramirez Jaramale : R.A.S.


[Si besoin est, il en fera parti ]

En arrivant dans la réserve Ramirez constata que tout était encore en état et qu'il n'y avait aucun danger, apparement ces creatures ne sont pas très intelligentes. Elles ne cherchent pas à éviter les obstacles, elles avançent et essayent de détruire ou de franchir ce qui les separent de leurs prochaine victime. Ramirez put donc facilement acceder au vasistas et sortir de ce piège qu'était devenu sa maison mais une fois dehors le grand craquement qu'il entendit lui signala que son lieu de residence était à présent condamné. Une fois dehors plusieurs choix s'offraient à lui dont le gros 4*4 du voisin qui pourrait devenir utile par la suite et meme si il n'est pas un très bon chauffeur il pourrait se débrouiller.

Voler le 4*4 de son voisin ne posait aucun problème car il se pouvait que celui ci soit deja mort et meme si ce n'était pas le cas, son voisin était juste le genre de personne à frimer avec son énorme véhicule ainsi qu'à passer son dimanche après-midi à la netoyer. Ramirez sauta donc par dessus le petit muret en direction du 4*4 pour verifier si le voisin n'avait pas laisser la clé sur le contact sinon il fera le tour de la maison du voisin pour trouver un moyen plus discret d'entrer que la porte principale. Pour plus de précaution il reprit son arme en main pret à faire face à une nouvelle menace.

2/3

Sans avoir besoin de trop réfléchir après que les mort vivant est enfoncé la porte vous décidez de prendre vos jambes a votre cou, sans trop de peine vous arrivez à sortir de chez vous. En prenant votre élan vous sauter par-dessus le muret mais votre cascade n'étant pas parfaite vous vous sentez perdre légèrement l'équilibre mais d'une agile façon, vous compensez se déséquilibre et arriver à vous réceptionnez normalement. Un peu déséquilibré mais vous restez debout et continué vers le 4*4 de votre voisin.

Sans remord vous pensez déjà à piller le bien de votre voisin, vous regarder au travers des vitres du 4*4 pour, espéré trouver les clefs sur le contact, vous essayer d’observait le contact au travers des vitres du 4*4 mais vous n’arrivait vraiment pas à voir essayent toujours plus de voir si elle si trouve vous vous appuyez beaucoup trop sur la vitre et par manque de chance l’alarme du 4*4 se déclenche. Le vacarme et tel que vous sursauté est vous écarté rapidement du véhicule.

Dans votre plan cela accélère grandement les choses, votre bute reste le même récupéré les clés mais maintenant il faudra peut-être avoir affaire avec les monstres qui seront attirait par le bruit.

Ramirez Jaramale
R.A.S.

It's uppon to you now.

Ramirez avait reussi à sortir de chez lui sans encombre et à échapper aux zombies qui voulaient en faire leur diner, cependant une fois à l'exterieur il eut la mauvaise idée de trop s'approcher de se qui aurait put étre son échappatoire pour rejoindre le commissariat. A présent, la rue c'était transformer en un véritable "son et lumière", il était sur que les créatures auquels il avait échappé précedement allaient rappliquer et cette fois sa ne sera pas seulement un petit groupe mais une véritable armée au vue du bruit qu' émettait cette sirène.

(Zut! Me voila dans de beaux draps, ce maniaque du culte des vehicules qu'est mon voisin a meme pensé à mettre une sécurité sur son engin! Bon pour la tactique "je te l'emprunte et je me barre ni vu ni connu" je repasserais. Bon! Pas question de moisir ici sinon je vais avoir tout le quartier sur le dos, franchement j'aurais quand meme du essayer de voir mon voisin si il était encore en vie pour se barrer ensemble avant de faire mon gros égoiste! Mais bon ma situation n'est peut étre pas si désespée que je le pense!)

Cependant il y avait pourtant un moyen auquel Ramirez n'avait pas pensé au debut, il devrait en effet pouvoir profiter de cette véritable cacophonie pour s'enfuir. Vue que le 4*4 c'était reconverti en boite de nuit et allait attirer tout les monstres, Ramirez allait pouvoir tenter une fuite pendant que ceux ci se dirigerait la source du bruit qui monopoliserait leurs attention lui laissant quartier libre, enfin tant qu'il ne resterait pas en travers de leurs chemin.

"Eh! Voisin! Si t'es encore en vie je suis desolé pour la voiture mais je t'annonce que tu vas avoir un paquet de problème! Si tu arrive à t'en tirer rejoins moi au COMMISSARIAT! T'ENTENDS REJOINS MOI AU COMMISSARIAT!"

Et donc n'écoutant que son courage Ramirez prit la direction du commissariat, au triple galop, l'arme au poing en cas de problème.

Résolu à prendre la fuite pendant que la voiture était en train de rameuter tout le quartier, Ramirez s'engagea sur la petite terrasse pour partir en direction du Poste de police. Mais au moment de sortir de la propriété, il fut stopper par l'attaque d'un des monstres auquel il tentait d'échapper. Evitant l'assault du monstre qui avait surgit, Ramirez se retourna rapidement pour faire face à la creature et pointa son arme dans sa direction. Après un rapide examen de son nouvel ennemi, Ramirez constata que la loque mort-vivante qui se trouvait devant lui n'était autre que son voisin.

(Tiens? Un short, une robe de chambre, une forte odeur d'alcool et de moisi et la tronche du benet de service y'a pas de doute c'est mon voisin... Pourquoi je perd mon temps avec lui? A chaque fois que je veux lui donner une bonne info pour l'aider il m'ignore et trouve au meme moment une "bonne idée" pour se foutre encore plus dans la merde! Alors pourquoi chercher à le prévenir d'un danger? Il devait etre tellement bourré quand cette infection à commencée qu'il a dut mourir sans s'en rendre compte... Mais bon maitenant c'est fini pour lui, je vais donc en profiter pour me venger, en plus vue que c'est l'anarchie maintenant personne ne pourra rien me dire. C'est vrai, après tout je suis en légitime défence! Sa fait bizarre de se sentir du "bon coté de la loi", je suis tellement boulversé que je verserais bien une petite larme pour l'occasion mais l'idée de crever ce bouffon en rigolant me procure un plaisir sans limite! )

Après une brève réfexion Ramirez prit son arme à deux main et tira à deux reprises sur son voisin jusqu'à que celui s'écroule pret à lui mettre une troisième balle si il s'obstinait à vivre. Puis sans perdre de temps Ramirez reprit sa fuite en direction du commissariat, l'arme au poing pret à coller deux balles à chaques zombies qui s'approcheraient trop de lui.

Le combat entre Ramirez et son voisin fut bref et le résultat sans appel. Avec une balle en pleine tete celui ci n'embetera plus personne, surtout Ramirez qui ne pouvait pas supporter les habitudes grotesque de cet homme, qui à présent était en train de couvrir le sol de son sang. Par contre il restait encore d'autres contaminés qui devaient avoir un petit creux mais l'idée d'etre inscrit au menu de ces monstres ne plaisait pas beaucoup à Ramirez qui decida de partir sans tarder.

Mais une fois le vehicule dépassé, il observa qu'au niveau de la route se tenait une femme qui avait l'air normale et une silhouette de l'autre coté de la rue qui semblait tenir une arme. Il pouvait s'agir de survivant comme lui mais là où il était il ne pouvait pas en étre sur bien que leurs comportements semblaient normal. Que devait il faire? Prendre le risque de les approcher pour verifier si ils étaient bien comme lui ou partir vers sa destination en les laissant là. Bien qu'hésitant un peu il décida de s'adresser à eux de là où il était pour vérifier qui ils étaient et si ils seraient pret à le suivre car il savait si ils pouvaient former un groupe ils résisteraient plus facilement à une attaque quelconque.

"Eh! Vous! Ecoutez, on n'a pas trop le temps de parler pour le moment! Si vous comprenez ce que je dis c'est que vous etes pas comme eux! Je connais un endroit où on peut se procurer de l'équipement et où on pourra etre en sécurité! Si vous tenez à la vie suivez moi sinon faites comme vous voulez!"

En attendant leurs réponses Ramirez continuait sa progression dans la direction de son objectif le commissariat. Il continuait aussi de garder un oeil sur "eux" mais si ils ne répondaient pas, Ramirez reprendrait sa course en tachant de ne pas se faire surprendre par un monstre pendant qu'il parlait.

Hélène réalisa que si elle essayait de couper l'alarme elle servirait de repas à ces saloperies. Elle rangea son couteau et sortit de la voiture. Elle dégaina son pistolet et vit un survivant flinguer un zombi avant de fuir. Elle refléchit rapidement
* Bon être ennemi public n°1 ne signifie pas que dans la merde la plus noire je dois me démerder seule et c'est comme les films de Romero, vaut mieux être à plusieurs que tout seul...*
Elle hurla alors au survivant :
- Couvrez-moi ! je vous rejoins !

Après la réponse de Durak je vous laisse encore 1 tour chacun le temps que vous puissiez vous parlez et voir vos objectif commun pour le moment. Je donnerai un ordre de réponse après.

Helene fut stopper net dans sac ourse par une voix d'homme qui hurla :
- Hé! Vous deux! Il faut partir d'ici et vite avant qu'"ils" n'arrive! Suivait moi!
Elle tourna la tête et vit un flic, bouclier anti-émeute et tonfa en main courir vers eux.
* Un flic ! Putain je suis une vrai veinarde...Enfin plus on est de fous plus on rit*
Elle s'abrita derrière le 4x4 et se mit en position de tir pour couvrir le flic :
- Mon cul ! Vous venez jusqu'à nous, je vous couvre !

La situation semblait évoluer d'une manière plutot étrange dans la rue où Ramirez vivait depuis qu'il s'était installé dans cette ville pour prendre un peu de repos, car malgré que la nuit était tombé et que l'air frais du soir courait sur la peau de Ramirez la situation était loin d'etre reposante. D'abord il y avait cette infection qui avait transformée la moitié de la ville en une horde de "zombie" provoquant le chaos, la désolation et la folie sur ce qui semblait etre un endroit paisible. Il y avait ensuite cette sirène déclenchée par Ramirez alors qu'il tentait de prendre le 4*4 de son voisin qui faisait assez de bruit pour avertir tout le quartier de l'éxistence d'un ou plusieurs survivants. Et pour finir il y avait ces deux survivants qui semblaient vouloir le rejoindre, pour tenter d'échapper à une mort qui semblait les attendre au coin d'une rue.

Sur les deux survivants qui se rapprochaient de Ramirez l'un semblait etre une jeune femme qui avait l'air un peu agressive et vulguaire ce qui se comprenait par la catastrophe qui avait eu lieu et l'autre était un homme lourdement équipé qui portait un uniforme des forces de l'ordre. D'ailleurs de toutes les personnes qui était encore apte à parler le policier fut le premier à se faire entendre:
- Hé! Vous deux! Il faut partir d'ici et vite avant qu'"ils" n'arrive! Suivait moi!
- D'ailleurs... Savez vous où est le commissariat?

La réponse de la survivante ne se fit point attendre.
- Mon cul ! Vous venez jusqu'à nous, je vous couvre !

Ramirez un peu déconcerté par le discours des deux survivants se mit à reflechir à ce qui pourrait dire à ces deux la.
(Eh ben... Je sens que je vais pas m'ennuyer avec eux mais je vais faire un peu attention. Car meme si le flic semble un peu perdue et plein de bonne volonté, je sens que la fille est un peu tendue... Bon évitons de perdre du temps, je vais leur expliquer ce que je veux faire et après ... Ben?... Ils feront bien ce qui leurs chantent! )
Laissant la reflexion de coté il se tourna vers les deux survivants et prit la parole:

-Bon! C'est bien beau tout ça, mais on avance pas beaucoup! Moi je sais où est le commissariat et c'est justement là où je vais! J'aurais préferé aller ailleur mais c'est le seul endroit où on sera peut etre en sécurité et où on trouvera de l'équipement pour se défendre... Bon, faites un choix, mais faites vite! Moi, je pars!

Sans attendre leurs réponses Ramirez se remit en route, l'arme au poing, jetant des coups d'oeil aux alentours.

Hélène se dirigea vers l'arrière du véhicule mais un bras immense la saisit et la souleva du sol. Son pistolet lui échappa des mains et coup de bol il était hors d'atteinte.
* j'ai jamais été chanceuse mais là c'est le gros lot* pensa t-elle
Elle dégaina son couteau et frappa la main a répétition

Pour Ramirez, la situation se degradait au fur et à mesure que le temps passait, car après avoir reussi à s'échapper de sa maison et avoir eu l'idée de partir pour le commissariat, il n'avait pas du faire beaucoup plus de 5 mètres en 10 minutes. Tout cela à cause des nombreuses rencontres qu'il eu fait pendant cette periode, entre les monstres et les personnes encore vivantes qui l'avaient rejoins et maintenant il risquait de perdre encore plus de temps à cause d'une nouvelle apparition qui était en train de s'en prendre à une de ses nouvelles connaissances. Que devait il faire? Se devouer à un sauvetage qui semblait plus que sucidaire ou partir seul, en abandonnant ses partenaires, pour ne peut etre meme pas réussir à atteindre son but?

Le problème était entier et Ramirez commença à douter des chances qu'il avait de réussir une telle aventure. Mais dans ce moment où l'idée de foutre le camp semblait la meilleur solution, il se rappela qu'à présent il valait mieux etre nombreux pour qu'ils aient plus de chance d'y arriver. Par la meme occasion il se souvint des paroles prononcées par le policier quelques instants plus tot et où il proposait de les proteger en cas de danger comme ici. Se tournant vers le CRS, Ramirez prit la parole:

-Je suppose que tu voulais parler de truc comme ça, quand tu parlais de "danger imminent". Bon! Ben... Comme tu l'as si gentiment proposé, je crois que tu vas passer devant... Moi, ben... Je vais éssayer de t'aider comme je peux.

Restant en retrait Ramirez essaya de trouver un angle de tir qui lui permetterait de toucher la creature tout en évitant de blésser ses collègues. Des que la creature en sera dans sa ligne de mire, il tira à 4 reprises sur le monstre.

Hélène sentit la créature raffermir sa prise et crut l'espace d'un instant voir la Faucheuse lui disant de la suivre. Elle sentit des larmes couler le long de ses joues et les muscles de sa nuque la faisait souffrir atrocement.
*je...tiendrais...plus...très longtemps* pensa t-elle difficilement
Alors qu'elle essayait de donner des coups de couteau, la chose la ramena d'un coup vif contre la barrière. Elle distingua alors des yeux anormalement gros d'où sortait un liquide rouge-jaune.
Elle entendit soudain 4 coups de feu et sentit une balle se loger dans la jambe gauche, la douleur lui cisailla la jambe tandis que le sang, son sang poissait ses vêtements.
Puis la créature jeta Hélène qui s'écroula sur le policier. Elle ouvrit les yeux et se retrouva à sa surprise en Afghanistan, elle entendait les crépitements des FAMAS et des AK-47. Elle vit son supérieur s'écrouler toucher d'une balle en pleine tête. Un rugissement semblable à celui d'un lion la ramena à la réalité, l'Afghanistan c'était il y a plus de 10 ans.
Elle vit la créature qui l'avait agrippée sur le toit d'une maison et remarqua qu'elle avait atterri sur un flic
*Pour un fois que je dois la vie à un flic*
Elle réussit à articuler :
- Merci, on...devrait...y...aller...non ?